Ampelaster carolinianus – aster grimpant

Ampelaster carolinianus – aster grimpant

Égayez la Toussaint avec l’aster grimpant, Ampelaster carolinianus. Facile, vigoureux et parfumé et qui dure jusqu’à Noël. En savoir plus.

10.00

Poids 2 kg
Résistance au froid

Intérêt

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Taille de la plante expédiée

Type de plante

En stock

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Ampelaster carolinianus, l’aster grimpant, n’est pas vraiment grimpant mais c’est vraiment un aster. Il fleurit tard mais il est très parfumé. Certains botanistes considèrent qu’il doit être, comme beaucoup d’autres asters, rebaptisé dans un nouveau genre : Symphyotrichum carolinianum. Il vous suffit de dire « Oh, C’est Symphyotrichum carolinianum ? » et paf !, voilà un alexandrin.

Ampelaster, un grand très mlince

Impossible de confondre Ampelaster carolinianus avec les autres asters par ses rameaux allongés s’étalant jusqu’à 1,50 m de long. Au début, il ressemble à un aster comme les autres mais semble s’étirer et prendre une dimension extravagante pour un aster, comme Alice au pays des merveilles. Et en effet, Aster carolinianus s’étale sur le reste de la végétation, en attendant de fleurir. Ainsi toute la belle saison, il s’affale et retombe ou se vautre si on ne l’a pas tuteuré. Car c’est un sarmenteux et ses tiges, si elles peuvent atteindre 2 m, ne font jamais plus de 1 cm de diamètre. C’est un peu Phil Defer, aux jambes toujours arquées, sauf qu’Ampelaster n’est pas un méchant, bien au contraire.

L’aster grimpant, surprise de Noël

 

L’aster grimpant produit un feuillage légèrement teinté de pourpre. Il n’étouffe pas les plantes avec lesquelles on le fait voisiner mais il s’y marie intimement. Et il fait patienter le jardiner car pas grand-chose ne semble se passer de nouveau jusqu’à la Toussaint. La plante démarre vers avril, comme un aster classique, puis forme ses tiges paisiblement jusqu’au mois de septembre. Les semaines suivantes, il semble redoubler de vigueur et montre vraiment son caractère grimpant. C’est alors qu’il forme des boutons à fleurs et fleurit ensuite jusqu’aux derniers jours de l’année, si le temps reste doux. Cela fait le bonheur des butineurs qui trouvent là une source bienvenue de nectar durant la morte saison. C’est pour leur signaler sa présence que cet aster est parfumé et peut envoyer de douces bouffées durant les journées ensoleillées de la fin de l’automne. En général, la plante prend son temps mais il arrive que les plants que nous envoyons forment leurs premiers boutons à fleurs.

Résistance au froid de l’aster grimpant

Lorsque les températures s’aventurent en dessous de -4°C, finie la fête et les fleurs. La plante, elle, gardera ses tiges en végétation jusqu’à -10°C. Quant à la souche, c’est à partir de -15°C qu’elle commencera à rentrer la tête dans les épaules. Autant dire qu’avec un paillis, même en région très froide, il n’est pas difficile de garder cette plante. A noter : dans son aire d’origine, c’est une plante de bord de mer. Il est donc optimisé pour les jardins sous influence maritime.

Le temps d’une fleur by Ampelaster

Si vous avez saisi, Ampelaster carolinianus n’est pas pour les jardiniers qui veulent des fleurs dans l’instant, dès que le mot printemps est prononcé. Tout est assez lent chez lui : son installation, puisqu’il ne fleurit pas avant la 2ème année, son démarrage au printemps. Mais lui reste en fleur lorsque les autres ont renoncé depuis longtemps… Nous l’apprécions marié à une floraison précoce, comme celle de l‘arbre à papillon officinal. Car l’aster fleurit jusqu’en décembre, et ce buddléia démarre dès la fin février. Cela fait un hiver très court !

 

 

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Comment cultiver Ampelaster carolinianus, l’aster grimpant

 

waterscore by Palmiers et Compagnie - valeur C (plutôt exigeant en eau, pas sobre)

Waterscore by Palmiers et Compagnie – valeur C (pas sobre, exige un peu d’eau)

Taille adulte Entre 1 et 2 m, selon le palissage. Plus large que haut.

Exposition mi-ombre dans l’idéal, mais peut prendre le plein soleil en sol frais.

Sol assez riche mais surtout profond et pas trop compacté.

Plantation toute l’année, de mars à septembre en climat rude.

Adore… les terres riches mais pas trop collantes, même s’il ne craint pas un mauvais drainage : on peut même l’essayer dans les terres marécageuses.

Déteste… l’ombre dense, où il ne peut fleurir, et les terres arides, où il reste malingre.

Le truc pour le réussir Installez cet aster à proximité d’une plante qui lui servira de support comme un miscanthus ou une canne à sucre de jardin. Guidez ses tiges en cours de saison. S’il vous embête avec ses tiges de l’année passée, ratiboisez-le, mais avant la fin avril. En pot, offrez un volume de 15 l et un arrosage automatique.

Espacement 1,25 m.

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