Brahea aculeata

Brahea aculeata

Découvrez un palmier rare avec Brahea aculeata, le palmier des montagnes du Mexique. Une plante de notre Série Très Très Limitée.

 

14.00

Poids 1.6 kg
Résistance au froid

Intérêt

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Type de plante

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Brahea aculeata est un palmier rare endémique du Mexique et plus spécialement de la Sierra de Alamos, dans l’Etat de Sonora. Série très Très Limitée, stocks pareils.

C’est un palmier de milieu aride, qui monte à peu près jusqu’à 600 m d’altitude. Il pousse dans des milieux ouverts, bien drainants, mais pas désertiques non plus.

Brahea aculeata, grand et vert, peu épineux

De loin et pour l’observateur étourdi, ce palmier ferait un peu penser à un petit sabal, surtout lorsqu’il est jeune. Cependant, rien que la couleur diffère, le sabal étant volontiers bleuté, alors que celui-ci est bien vert, en bon Brahea. Et surtout, il est un peu épineux sur les pétioles. Car oui, « aculeata » signifie « avec des épines. Ce n’est pas non plus un féroce palmier, pas plus qu’un Chamaerops en tout cas.

Il monte en formant un stipe qui devient vite nu, les restes de feuilles tombant assez vite, au bout de 2 ans environ. Son toupet de feuilles reste vert franc, il ne s’étend pas en une couronne très large (2-3 m seulement).

Côté résistance au froid, ce palmier fait partie des Brahea plutôt frileux (Brahea edulis, B. brandegeei) et sa limite devrait se situer entre -5°C et -8°C, le résultat dépendant de tellement de paramètres (exposition, sol, courants d’air, protection, âge de la plante, humidité, etc.). Une chose est sûre, les plants que nous vous proposons sont à pouponner plusieurs années, pas à planter directement en pleine terre.

Un palmier en danger

Il est classé comme « espèce vulnérable » dans le livre rouge des espèces menacées, établi par l’IUCN. Mais ce classement remonte à 1998. Ca fait déjà un bail. Il y a fort à parier que la situation de ce palmier ne se soit pas arrangée dans la nature (en fait, au mieux, elle serait restée stable). D’autant plus que ce palmier a été décrit en 1980, ce qui est assez tardif pour une plante de cette taille dans l’aire en question. S’il se trouvait digne d’être classé comme vulnérable 18 ans seulement après sa description, il est sans doute bien plus rare aujourd’hui…

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