Colocasia Pharaohs Mask est un taro à l’allure qu’on ne peut confondre avec aucun autre !
Bas les masques avec Colocasia Pharaohs Mask
Ce taro est un peu à part dans le monde des colocases. En effet, la plante ne forme pas beaucoup de feuilles, à peine 6 à 8 pour une plante cultivée dans un grand pot (pas comme chez nous, où le contenant de production est toujours trop petit). Elles ont un look impossible à confondre : les nervures sont très saillantes, les bords de la feuille sont recourbées vers l’arrière. De plus, si les nervures sont noires, le reste de la feuille est bien vert. Cette curiosité a fait penser au nemès de l’Égypte antique à son obtenteur. Le nemès, c’est le tissu plissé de la coiffe la plus emblématique des pharaons, qui alterne des plis saillants noirs avec des plis en retraits plus clairs. Comme le colocasia Pharaohs Mask, il est vrai.
Les pieds dans l’eau pour Pharaohs Mask
Ce colocasia a beau avoir un feuillage plus charnu que les autres, il demande la même humidité. Cultivez-le comme un papyrus. Coté résistance au froid, il tient jusqu’à – 6 °C avec une protection hivernale. Il repart assez bien au printemps. On peut le maintenir en végétation toute l’année, en le gardant à 12 °C au moins en hiver. Il réclame du soleil ou au moins une lumière forte et tamisée.