Agave scaposa

Agave scaposa

Installez une sculpture végétale XL avec Agave scaposa, un agave à très gros développement. Résiste à – 12 °C et moins.

 

15.00

Poids 1.4 kg
Résistance au froid

Intérêt

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Agave scaposa est un grand agave proche d’Agave américana, mais qui ne vous embêtera pas avec ses rejets !

Du large, du grand, du racé, avec Agave scaposa

Cet agave forme une rosette d’une soixantaine de feuilles, d’un gris vert mat. Elle atteignent 1 m si bien que la plante entière atteint environ 1,50 à 1,80 m de diamètre. Ce n’est donc pas l’agace le plus grand, mais c’est du costaud quand même. Comptez 800 kg à maturité : la culture dans un gros pot, c’est un mauvais plan. Pour le non spécialiste, la plante pourrait faire penser à Agave salmiana var. crassispina (qui possède moins de feuilles, arbore un teint plus vert, rejette abondamment, etc.).

La plante ne rejette habituellement pas mais quelques sujets peuvent faire des rejets. La floraison se forme sur un mât pouvant atteindre 7 m, mais sur des plantes matures. À notre connaissance, Agave scaposa n’a encore jamais fleuri en Europe.

Résistance au froid d’agave scaposa

Ce maguey pousse en altitude (voir plus loin), ce qui lui confère naturellement une bonne rusticité. La plante tient aux alentours de -10 à -12 °C sans problème en sol drainé. En dessous, à – 15 °C comme certains en Europe l’affirment, alors nous demandons à voir. Car il y a chez les agaves un seuil à – 12 °C, en dessous duquel il y a peu d’élus, surtout pour les gros agaves. Prudence donc.

Agave scaposa, une espèce encore mal connue chez nous

Peu fréquente dans l’état d’Oaxaca d’où la plante provient, elle est mal documentée et finalement peu connue. C’est une vraie rareté, tant pour la culture que pour la botanique. Elle a été surtout collectée dans la sierra de Mahuizapa (nord de l’état d’Oaxaca). À l’époque (en 1967), à l’époque (en 1967), Howard Scott Gentry (le pape des agaves) avait mis une journée de mule pour rejoindre cette chaîne de reliefs volcaniques. Aujourd’hui, il faudrait… à peu près le même temps. Ce qui, à l’heure où des psychopathes veulent mettre la Lune à portée des plus riches en quelques heures, a finalement quelque chose de réconfortant. Enfin, quand les Mexicains ne se prennent pas une fusée de psychopathe sur le crâne, justement… Mais on s’égare, là !

Toujours est-il qu’on trouve cet agave aussi dans l’état de Puebla (juste un peu plus au nord, donc). La plante se trouve toujours au-dessus de 2 000 m, sur des terres plutôt calcaires (mais elle poussera aussi bien en terre acide). Elle devrait normalement figurer au registre des plantes menacées mais il y a un ver dans la plante. Car cet agave est un maguey, et il sert à élever un asticot (celui qu’on met dans les bouteilles de téquila « pour faire vrai » alors que c’est surtout pour asticoter le touriste et les exportations). Du coup, la plante est protégée par les populations locales qui en dépendent.

Agave scaposa, cousine d’Agave americana ?

La systématique, cette science de l’étude des relations de parenté entre les végétaux, reste dubitative sur Agave scaposa. Elle pourrait être, ou ne pas être, liée à une hybridation avec des proches d’Agave americana, ou à moins peut-être que… enfin, bon, bref, on ne sait pas.

 

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